L’histoire du Colombier
Restaurateur depuis 1873
Notre Histoire
Écuries des Capitouls puis relais de poste, c’est en 1873 que le lieu devient un restaurant et s’affirme depuis des décennies comme “la“ référence dans le domaine du cassoulet. Dans ce décor typique de briques roses et de galets, Marie et Patrick PETIT développent une restauration de tradition. Ici, vous trouverez foie gras, véritable cassoulet de Castelnaudary, plats traditionnels et régionaux.
Le plaisir avant tout
Dans notre restaurant, aux côtés de l’incontournable “Cassoulet de Castelnaudary au confit d’oie” vous trouverez de la cuisine “Gastronomique”, des plats traditionnels ou régionaux, mais aussi de la cuisine de Bistro. Le Colombier se veut l’antithèse du “branché”, à l’écart des modes éphémères : ici on ne mange pas “petit bras”, on vient pour se faire plaisir. Aujourd’hui Le Colombier accueille aussi bien les amateurs de cuisine traditionnelle que les convives curieux de découvertes et de sensations. Les groupes sont également les bienvenus pour tous types d’évènements.
Notre marque de fabrique
L’histoire du Cassoulet
Le sud-ouest de la France, région empreinte d’une forte tradition gastronomique, est le berceau du cassoulet. Apparu au XVIe siècle, époque où les premiers haricots appelé en ce temps « fèves blanche » arrivèrent du nouveau monde et furent cultivé dans le midi de la France.
Rien ne permet de dire si le cassoulet existé sous la même forme mais à base de fèves avant cette époque.
Un plat campagnard
Le Cassoulet et un plat typiquement campagnard, et se déguster durant les mois d’hiver après la traditionnelle fête du cochon et la préparation de viandes d’oie et de canard.
Il semble que la région de Castelnaudary ait été le berceau de cette spécialité car elle se situe à mi chemin entre le Languedoc, région d’où provient « lou cassoul » et la Gascogne, régions privilégiées d’élevage des oies et des canards. Les haricots provenant du Lauragais ou des Pyrénées Arriégoises.
Lou Cassoul
A l’origine les fermières cuisinaient la fameuse spécialité, en début de semaine et faisaient cuire » lou cassoul » (Mot typiquement languedocien qui désigne le récipient en terre cuite) qu’elles disposaient dans l’âtre de la cheminée.
Le fond du récipient était couvert de couennes puis rempli par les haricots et la garniture de légumes et d’herbes aromatiques, Le tout généreusement graissé avec du saindoux ou de la graisse d’oie et de canard, un os de jambon, souvent rance, conférait au plat son goût subtil que l’on épiçait généreusement.
Casser la croûte
Ce met constituait la nourriture des paysans durant toute la semaine, ainsi le Cassoulet épargnait aux femmes une charge de cuisine journalière : chaque jours, après avoir » cassé la croûte « , qui s’était formée en surface, on rajoutait les ingrédients, manquants, afin que la cassoul soit toujours pleine. Le dimanche, pour faire bombance, et après avoir cassé la croûte pour la septième fois, on y ajoutait les saucisses et les confits.
C’est peut-être de cet usage que provient l’expression familière de « casser la croûte » bien que d’autres régions et usages la revendiquent.
Au fil des ans, chaque terroir a apporté ses subtilités dans l’élaboration de ce plat.
Le savoir faire
Une Maison reconnue
Aujourd’hui encore toute la nature du pays Languedocien s’exprime dans un Cassoulet ou les haricots se marient délicatement au confit d’oie, à la saucisse de Toulouse* au jarret de porc, à la saucisse de couenne* sans oublier les couennes de porc.
Tout d’abord relais de poste, devenu avec l’arrivée du train et l’installation de la Gare Matabiau « pension bourgeoise » et restaurant, depuis 150 ans, la recette du cassoulet de Castelnaudary se perpétue au Colombier. Le sérieux dans la sélection des produits, allié au savoir-faire d’une équipe professionnelle ont fait du Colombier une maison fière de sa réputation sur la place Toulousaine.
Le cassoulet, un plat convivial
Le Colombier a donc pensé à vous pour vos repas improvisés, vos repas de groupe, ou tout simplement lorsque vous voulez faire plaisir à des amis et que vous n’avez pas le temps de cuisiner. Quelque soit le nombre de vos convives, nous sommes à votre disposition pour vous proposer un cassoulet frais, de qualité, à emporter dans sa terrine de terre cuite.
Ils en parlent
Avis des critiques
Gault & Millau
Infatigable défenseur et promoteur du cassoulet à la toulousaine, le Colombier est un puissant rempart contre les envahisseurs, ceux qui veulent dégommer le terroir, abolir la saucisse et les haricots avec leurs parfums venus d’ailleurs. Ici, la tradition s’épanouit, s’installe et enveloppe les convives d’un drap protecteur. On peut commencer par un foie gras, terminer par une croustade aux pommes, la messe est dite.
Le petit futé
Le Colombier est une véritable institution toulousaine ! Il est près de la gare Matabiau et du marché Victor Hugo et vous permet de déguster des spécialités régionales, cuisinées avec soin et passion, quand elles ne sont pas revisitées ! Ce Colombier est ainsi le digne héritier de l’ancienne pension bourgeoise créée en 1874 et qui était entièrement dédiée « au véritable cassoulet de Castelnaudary ». Le Petit Futé adooore ce cassoulet qui mêle avec délices les haricots blancs, la saucisse de Toulouse, le confit d’oie, le jarret de porc… On aime et on partage ! Pour les allergiques au cassoulet, rassurez-vous, vous trouverez également à la carte une dacquoise de foie gras à la gelée de mangue, des Saint-Jacques à la provençale, des ris de veau aux morilles, une daurade rôtie au pistou… Le service est impeccable, l’accueil chaleureux et la cuisine, hmmm… Que dire de plus ? Foncez au Colombier !
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& plan d'accès
Votre restaurant le colombier vous propose plusieurs façon de réserver votre table. Seul, accompagné ou en groupe, nous pouvons nous adapter à vos attentes !
Vous pouvez à tout moment réserver en ligne via notre partenaire La Fourchette, ou bien utiliser notre formulaire de contact directement sur notre site web. Les réservations sont aussi acceptées par téléphone.